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13.2.13

L'érotisme sauvage


Les plus coquines ne sont pas toujours celles que l'on croit.  Karina est une fille superbe, d'une beauté froide, qui m'a souvent surpris par son esprit acide.

Cette New Yorkaise m'avait fait pas mal patienter avant d'aller plus loin, arguant qu'elle ne couchait pas avec n'importe qui.  Fine, mais ça ne présageait pas d'une libido explosive...



Finalement, après moultes "dates", ça a finit par se faire.  Du sexe de très bonne facture, certes, mais davantage par la beauté de son corps que son comportement sous la couette...

Et puis petit à petit elle a pris confiance.  J'ai découvert une des filles les plus chaudes et délurées que je n'avais jamais rencontrées.

Juste pour vous donner un petit aperçu de l'animal dont il est ici question, voilà ce qu'elle m'a demandé de faire pendant la semaine que je viens de passer chez elle:

- la ligoter au lit par tous les membres,

- la fesser jusqu'à ce que son petit cul devienne rouge comme une pivoine,

- lui mordre les tétons si fort que j'y laissais des traces de dents (son truc préféré),

- lui mettre des claques dans la gueule (véridique; j'ai été un peu timide là-dessus),

- l'enculer non-stop pendant facile 20 minutes (là pour le coup, aucune timidité; elle a été prise de remords le lendemain, sur le mode "I don't want you to think I'm a slut", "I don't want you to not like me", ce qui était un peu tordu, mais charmant),                       

- la doigter au comptoir d'un bar bourré de monde; elle mouillait tellement qu'elle en a enlevée son petit string pour me le glisser dans la poche,

- lui faire des suçons si violents que j'en avais les lèvres enflées comme celles d'un poisson exotique.


Au final, tout ça a été tellement loin que j'en suis arrivé à me trouver un petit côté "fleur bleue" comparé à elle.  Les interminables discussions post-coït n'existent pas chez Karina.  Après avoir niqué on s'y remettait systématiquement, le plus souvent en mode "rough sex", jusqu'à ce que les deux soient épuisés.

Le plus surprenant est qu'on ait ici affaire à une fille fragile, au coeur tendre comme celui d'un agneau.  Elle a une grande gueule et personne n'a intérêt à lui marcher sur les pieds, au risque de se manger une droite en travers de la gueule, mais au fond, elle est d'une sensibilité à fleur de peau.

L'un n'empêche pas l'autre: l'un est adorable par sa fragilité, l'autre est torride par son érotisme sauvage.  Je suis dingue de cette poule.



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