Capote ou pas capote?

Comme tout le monde, je déteste les capotes.  Ca vous enlève au bas mot 80% des sensations.  Et après quelques verres vous avez carrément l'impression de niquer dans le vide.  Une horreur.

Alors oui, c'est vrai, il m'est souvent arrivé de ne pas en mettre.  Même avec des filles que je ne connaissais qu'à peine.

Légère exagération

On ne réflechit pas au mieux dans le feu de l'action.  Le sang n'irrigue jamais la bite et le cerveau en même temps, c'est bien connu.

Vous vous retrouvez dans la chambre d'une poule, entrevoyez le bout d'un sein et le sang vous monte à la tête.  Ca se durcit dans le pantalon.  Vous ne pensez plus qu'à la suite des évènements.  A ce moment précis, vous emballer la bite dans un bout de plastique n'est pas vraiment une priorité.

Je sais pas.  Quand on regarde les statistiques, le risque paraît mesuré.

Mon coeur de cible: les femmes blanches de 21 (i.e. "légales") à 40 ans.  Je n'ai rien contre toutes les autres, mais la plupart des filles avec lesquelles je couche correspondent à ce profil.

A New York, ça représente environ 2 millions de poules.  800 sont porteuses du sida.  Vous cassez pas, j'ai fait le calcul: ça donne 0,042% de "chance" de tomber sur l'une d'entre elles.

Par exemple, pour toutes les 20 filles que vous niquez "raw", la probabilité de se retrouver infecté correspond à moins de 1%.

J'ai fait le choix de mettre des capotes aussi rarement que possible.  Et je n'ai rien d'un kamikaze.  Mais j'en ai toujours quelques-unes sur moi, au cas où je ramènerais Miss Piquouses à la maison.  D'ailleurs si vous voulez un tuyau, celles-ci sont beaucoup plus acceptables que les autres. 

- Un Français à New York sur Facebook -

- @_UFANY -

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