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12.5.14

Bombe dans ma chambre


Elle vient de s'endormir.  Allongée à côté de moi.  Complètement nue.

Mes yeux se balladent lentement le long de ce mètre soixante-quinze de pure beauté.  Il y a là autant de merveilles que dans tout le reste du monde.

C'est pas pour me vanter.  Mais je vis vraiment avec une fille splendide.  De loin la plus belle que j'ai eue.  Parmi les plus belles que j'ai vues.


(Karina)

Et on va pas se mentir.  Avoir une telle poule présente des avantages considérables.

Déjà tout devient très beau avec elle.

La fille dont je partage la vie est un chef-d'oeuvre sur pattes.  Elle embellit tout ce qu'elle caresse de sa présence.  Elle change chaque jour et chaque endroit en délices d'esthète.

Vous allez me dire que je la considère un peu comme un objet.  Mais peu d'objets ont ce pouvoir. 

Je vais vous expliquer.

Elle est grande et fine.  Sa peau, je plaisante pas, c'est de la soie.  Ses yeux sont d'un vert à tomber par terre.  Une splendeur Scandinave.  Une vraie viking putain.

Elle mettait souvent son petit manteau blanc en poils de je-sais-pas-trop-quoi cet hiver.

On arpentait ensemble les rues de New York sous la neige.  J'avais l'impression de traverser la steppe de Suède.  Mon acolyte le superbe viking portait les restes de son dernier repas sur le dos.  Une bête à poils clairs.  Je l'embrassais tout le temps.

Et quand elle ouvre la bouche c'est pour vous transpercer l'esprit.  Humour et intelligence..  Aussi bandants que les deux fesses du même petit cul.

Et quand ma bombe nordique se ballade en string à travers l'appart'...  Impossible de ne pas lui sauter dessus.  Elle rechigne rarement.  Parce que son sang déborde de libido et lui bout dans les veines.

Elle me demande toujours de l'attacher au lit de temps en temps.  Juste avant de la baiser.  "Tie me up ok?".  C'est son kif.  Elle jouit toujours très fort comme ça.




Et puis une fille splendide est souvent très à l'aise au pieu.  Ici c'est le cas.  Aucun complexe.

Elle se sent bien dans son skinny body la petite.  Pas un pet de graisse.  No junk in the trunk comme ils disent.  Elle le bouge comme le ferait une déesse et vous en met plein la vue.

La vie sexuelle de certains couples est pavée de misère vous savez.  Karina trace des routes brûlantes et les couvre d'or.

Et je vais vous dire un secret.

Quand elle a beaucoup bu elle me demande toujours de la baiser sur le lavabo.  Elle pose ses petites fesses sur l'évier, lève ses longues jambes et me saisit la queue pour se l'enfoncer toute entière.  Un coup dans le nez et elle fait tout ce que vous voulez.  (le lendemain elle se souvient de rien vous imaginez!)

Elle a ce côté un peu rock n' roll.

Souvent le soir elle va dans la chambre pour regarder des conneries à la télé.  Elle s'isole par pudeur - ces shows sont stupides.  Mais elle me dit toujours "come see me at 9-3-0 ok?"  (neuf heures trente).




La dernière fois, tout occupé à la préparation de la pipe pré-coït, je débordais un peu sur l'heure qu'elle m'avait fixée.

Figurez-vous qu'elle s'est mise à balancer des chaussures contre le mur du salon.  Sa façon de m'enjoindre à la rejoindre.

La fille avec laquelle vous vivez balance des trucs contre le mur pour vous commander de venir la niquer??!  Est-ce que vous vous rendez compte?  Ok c'est pas spécialement romantique.  Mais ça ressemble beaucoup au paradis.

C'est comme ça avec les Ricaines.  Et Karina l'est jusqu'au bout de ses flashy nails.

Ma superbe blonde adore aussi baiser dans les chiottes d'hôtels ou de restaurants.  Elle me glisse toujours son string mouillé dans la poche juste après.  Elle est joueuse comme ça.

L'année dernière je l'ai emmenée à Paris.

Classe.

On a été boire des verres au bar de l'hôtel Costes.  Oui ça va.  Je sais.  Et comme de coutume la serveuse était infecte.  Mais on a terminé déchirés dans les toilettes du sous-sol.

Une fille nous a surpris et a "alerté la direction".  La direction alertée s'est rendue sur la scène du crime.  On venait de terminer.  Seule restait une petite trace sur le mur.

Et l'été dernier à New York...  Ah.  L'été dernier à New York.  Le premier qu'on passait vraiment ensemble.  Le plus torride que j'ai connu.

Karina portait une petite robe très légère.  Des talons aussi verts que ses yeux.  Il faisait une chaleur de dingue.

Il fallait la voir déambuler à travers les blocks de béton brûlant.  La regarder s'asseoir au bar en essayant de refourguer ses longues jambes nues sous le comptoir.  En se tenant très droite sur son siège.  Une pure merveille.

Après trois margaritas elle s'est mise à me presser la bite à travers le pantalon.  Ses yeux verts lançaient des éclairs.  Ses cuisses nues se sont un peu écartées.  Ses lèvres s'entrouvrent.  Elle mord les miennes.  Elle est à-point.

On a fini nos verres cul-sec.  Je l'ai rejoint dans les toilettes de The James.  L'hôtel du coin.  Des toilettes tout confort très commodément cachés derrière le lobby.

A savoir pour le jour où vous êtes trop bourré pour ramener une poule jusque chez vous.



J'avais la bite en feu du moment où je l'ai découverte habillée ainsi.  Et là j'étais quand même sur le point de baiser ces deux longues jambes et ce tout petit cul.  Tout nu sous une robe si courte..

Alors juste après avoir refermé la porte je l'ai retournée pour la plaquer contre le mur.  J'ai soulevé sa robe pour contempler son cul parfait avec la bave aux lèvres.

Une mince ficelle blanche plongeait entre ses deux mini-fesses bien fermes. J'allais être cette ficelle.

Sa petite chatte était déjà très mouillée.  Rien de tel qu'une chatte blonde d'ailleurs.  Son rose est très particulier.  Plus clair peut-être.  Je sais pas.  Mais je la léchais par derrière en lui écartant les fesses et j'adorais ça putain.  Je bandais comme un âne.

Elle a saisit ma bite à pleine main et se l'ai enfoncée en entier dans sa chatte trempée.

Techniquement elle était encore toute habillée.  Mais vraiment elle était à poil.  Petite robe complètement retroussée.  Fine taille dénudée.  Longues jambes aux muscles serrés.  Petit cul complètement relevé.  Je la baisais sous sa mini-robe et ma bite a littéralement explosé en elle.

Mais ceci dit attention.

Tout ça n'est pas que fun.  Une fille splendide il faut aussi savoir la tenir.  Et oui.

Elle se fait constamment aborder vous voyez.

Et une très belle fille n'est pas faite de bois.  Loin de là.  Pas plus que vous et moi.  Alors faut être au top.  Toujours s'assurer qu'elle soit comblée.  La baiser comme jamais elle n'a été baisée.  Et arroser cette belle plante de tout l'amour et de toutes les intentions dont elle a besoin.

Certains diront qu'une très belle fille aura tendance à être chiante.  C'est une autre façon de voir les choses.  Ils ont peut-être un peu raison.

Mais parfois sa beauté l'encombre aussi.  Elle ne s'en vante jamais.  N'y fait pas allusion.  Et toutes les poules veulent sa peau.  Au propre autant qu'au figuré.

Donc elle veut toujours que je passe avant elle en entrant dans un resto.  Pour éviter que trop de gens ne la regardent.  C'est pas facile d'être une bombe.  Ca peut rendre un peu timide.

Alors je vais vous dire.

Pendant un temps je ne voulais qu'elle.

Toutes les autres filles je ne les regardais même pas.  Il faut dire que la bite me coulait constamment de nos ébats.  Mais au bout d'un moment l'idée m'est (re)venue d'aller voir ailleurs.  Comme toujours.

Goûter à d'autres corps.  A leur parfum de nouveauté.  Aucune ne lui arrive à la cheville.  Mais elles ont toutes ce parfum que même ma splendeur blonde ne peut garder.

Et tant que ça n'enlève rien au plaisir de la baiser sur le lavabo...


Little T & A by The Rolling Stones on Grooveshark
"She's my little rock 'n' roll                                          
My tits and ass with soul baby"


 Valerie Loves Me by Material Issue on Grooveshark 
  "Valerie loves me"

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