Ca m'arrive quand j'ai merdé. Quand j'ai perdu de l'argent. Ou quand j'espérais que quelque chose arrive, et que je me rends compte que ça n'arrivera pas.
Toujours après une mauvaise journée.
Si je suis excité, j'imagine ma copine en train de se faire prendre. Par un autre. Je ne peux pas m'en empêcher.
Elle le suce. Il la défonce. Elle hurle de plaisir. Sous mes yeux.
Normalement ça ne me traverse pas l'esprit des trucs pareils. Mais quand ça va pas et que je suis excité je ne peux pas m'en empêcher. Ca me fait tellement bander.
Et cette bizarrerie ne date pas d'hier vous savez.
Il y a très longtemps rien ne semblait aller pour moi. J'étais triste. Je détestais mon job. N'avais pas un rond. Et surtout je m'apitoyais sur mon sort. Une vraie larve. Sans le moindre espoir.
J'avais une copine aussi. Elle était sexy à vous faire craquer le pantalon mais je la supportais de moins en moins. Sa façon de parler. De marcher. De s'habiller. Ses copines. Sa famille. Tout en elle me tapait sur les nerfs.
Mais je restais avec elle parce qu'elle était très belle. Grande, blonde et fine. Et surtout parce que je pensais qu'aucune autre fille ne voudrait de moi.
Et puis un soir je me suis aperçu qu'elle me trompait. C'était après une autre journée passée à ruminer tout ce qui n'allait pas.
Je venais de rentrer chez moi après le boulot. Et je suis tombé sur la preuve qu'il y avait quelqu'un d'autre. Quelqu'un qu'elle ne voyait que le soir. Chez elle. Quand je n'étais pas là.
J'ai passé une bonne demi-heure à fixer à travers la fenêtre en fumant des cigarettes. Il pleuvait. Il faisait froid. Mais j'ai fini par mettre ma veste et je suis allé chez elle.
J'étais dévasté. Et sans comprendre pourquoi j'étais aussi terriblement excité.
Je sonne à la porte. Elle ouvre. En petite nuisette noire. Apparemment elle était surprise de me voir.
Je n'ai rien dit. Pas bonjour. Pas un mot sur ses infidélités, même si c'était la seule chose à laquelle je pouvais penser. J'ai simplement refermé la porte derrière moi.
Et je l'ai plaquée face contre le mur de l'entrée.
J'ai soulevé le bas de sa nuisette. Elle ne portait pas de culotte. Son tout petit cul était nu. Elle s'est un peu cambrée pour le faire ressortir et il ne m'avait jamais paru aussi sexy.
Et je l'ai prise là, par derrière, debout contre le mur, dans l'entrée de son appartement.
Je m'enfonçais dans son cul bien serré en pensant à toutes ses infidélités. Un autre la faisait jouir quand je n'étais pas là. Dans ce même appartement. Il la prenait dès que j'avais le dos tourné. Je n'avais jamais été aussi excité.
J'étais tellement excité que je devais me retirer pour la lécher.
Je m'agenouillais à hauteur de ses petites fesses, les prenais à pleines mains, et enfonçais ma langue aussi profond que je le pouvais.
Et puis je me relevais pour continuer de la baiser. Très fort. Je la baisais vraiment très fort. Et je me retirais encore une fois pour la lécher en lui écartant bien les fesses. Elle était trempée. Elle me suppliait de recommencer à la baiser. Et je la pénétrais encore plus fort. Je n'avais jamais été aussi excité.
J'ai fini par la mettre par terre à quatre pattes pour vraiment bien lui monter dessus. Elle avait le cul complètement en l'air. Les jambes très écartées. Et je l'ai tellement défoncée qu'elle a jouit trois fois derrière sa porte. Meilleur sexe de ma vie. Et puis je l'ai quittée.
Le truc c'est que si le type avait été dans l'appartement je lui aurais sûrement sauté à la gorge.
Mais il n'était pas là. Et comme je ne pouvais qu'imaginer tout ça, et que c'était un jour où ça n'allait déjà pas, ça m'a excité au plus haut point.
Enfin. Vous voyez bien que cette déviance ne date pas d'hier. Et c'est bien une déviance, parce que je me suis aperçu que ça me rend aussi jaloux.
Tant que je suis excité ça va. Imaginer des infidélités décuple mon plaisir quand quelque chose ne va pas. Après tout pourquoi pas.
Mais je restais avec elle parce qu'elle était très belle. Grande, blonde et fine. Et surtout parce que je pensais qu'aucune autre fille ne voudrait de moi.
Et puis un soir je me suis aperçu qu'elle me trompait. C'était après une autre journée passée à ruminer tout ce qui n'allait pas.
Je venais de rentrer chez moi après le boulot. Et je suis tombé sur la preuve qu'il y avait quelqu'un d'autre. Quelqu'un qu'elle ne voyait que le soir. Chez elle. Quand je n'étais pas là.
J'ai passé une bonne demi-heure à fixer à travers la fenêtre en fumant des cigarettes. Il pleuvait. Il faisait froid. Mais j'ai fini par mettre ma veste et je suis allé chez elle.
J'étais dévasté. Et sans comprendre pourquoi j'étais aussi terriblement excité.
Je sonne à la porte. Elle ouvre. En petite nuisette noire. Apparemment elle était surprise de me voir.
Je n'ai rien dit. Pas bonjour. Pas un mot sur ses infidélités, même si c'était la seule chose à laquelle je pouvais penser. J'ai simplement refermé la porte derrière moi.
Et je l'ai plaquée face contre le mur de l'entrée.
J'ai soulevé le bas de sa nuisette. Elle ne portait pas de culotte. Son tout petit cul était nu. Elle s'est un peu cambrée pour le faire ressortir et il ne m'avait jamais paru aussi sexy.
Et je l'ai prise là, par derrière, debout contre le mur, dans l'entrée de son appartement.
Je m'enfonçais dans son cul bien serré en pensant à toutes ses infidélités. Un autre la faisait jouir quand je n'étais pas là. Dans ce même appartement. Il la prenait dès que j'avais le dos tourné. Je n'avais jamais été aussi excité.
J'étais tellement excité que je devais me retirer pour la lécher.
Je m'agenouillais à hauteur de ses petites fesses, les prenais à pleines mains, et enfonçais ma langue aussi profond que je le pouvais.
Et puis je me relevais pour continuer de la baiser. Très fort. Je la baisais vraiment très fort. Et je me retirais encore une fois pour la lécher en lui écartant bien les fesses. Elle était trempée. Elle me suppliait de recommencer à la baiser. Et je la pénétrais encore plus fort. Je n'avais jamais été aussi excité.
J'ai fini par la mettre par terre à quatre pattes pour vraiment bien lui monter dessus. Elle avait le cul complètement en l'air. Les jambes très écartées. Et je l'ai tellement défoncée qu'elle a jouit trois fois derrière sa porte. Meilleur sexe de ma vie. Et puis je l'ai quittée.
Le truc c'est que si le type avait été dans l'appartement je lui aurais sûrement sauté à la gorge.
Mais il n'était pas là. Et comme je ne pouvais qu'imaginer tout ça, et que c'était un jour où ça n'allait déjà pas, ça m'a excité au plus haut point.
Enfin. Vous voyez bien que cette déviance ne date pas d'hier. Et c'est bien une déviance, parce que je me suis aperçu que ça me rend aussi jaloux.
Tant que je suis excité ça va. Imaginer des infidélités décuple mon plaisir quand quelque chose ne va pas. Après tout pourquoi pas.
Le problème c'est que quand je ne suis plus excité je continue à m'imaginer des trucs. Et ces trucs me torturent.
Je me dis que ma copine voit quelqu'un d'autre. Si elle est en retard c'est parce qu'elle est en train de le voir. Ou qu'elle finira par me tromper. Et me quitter. Bref, toutes ces peurs irrationnelles de pleurnicheuses.
Alors "pour me préserver" en général je finis par la tromper.
Je sais bien qu'on a tous des trucs un peu tordu.
Mais là quand-même, va falloir me trouver autre chose à quoi penser la prochaine fois que j'ai quelque chose à oublier.
'I'd be in trouble if you leaved me now'
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