Bon. Je vais pas vous parler de toutes les filles que j'ai rencontrées sur Tinder.
Juste d'une. La meilleure.
Jess.
(Jess) |
Une vraie folle du cul.
Je l'ai rencontrée cet été en appliquant ces quelques principes à la lettre. En particulier, je lui ai dis que j'étais touriste à New York. Histoire de niquer vite-fait.
Chat propre et rapide. Dix minutes montre en main. Dans son intégralité ci-dessous:
Je l'ai retrouvée près de Central Park le premier Vendredi de Juillet. Parce qu'il faut toujours jouer avec deux coups d'avance pour être sûr de tirer le sien. Rencontre: Vendredi. Limage programmé: Samedi. Deux bandes.
Elle m'attendait en lisant, sur un banc près de East 98th Street. Une bombe putain. Courte jupe noire. Jambes, longues. Poitrine, considérable. Sa chemise blanche semblait être sur le point d'exploser. Ma braguette aussi.
On marchait vers le parc et Jess me racontait sa vie. Son job c'est de faire du shopping. Je plaisante pas. Elle court les magasins pour ensuite dessiner les collections d'un grand magasin US. Un magasin très connu, mais pas très sexy.
"Right job, wrong company" me dit-elle en souriant. Ca aurait pu être pire, elle aurait pû passer le balai chez Gucci. Ca la fait rire. Je marque un point.
Après notre ballade dans le parc je l'emmène boire un verre sur Madison Avenue.
Elle me raconte ses voyages à travers le monde. Me parle de ses quelques années passées en Europe. Elle ne me laisse pas en placer une, ce qui peut énerver mais qui est souvent bon signe...
Je lui ai mis la main sur la cuisse sous le comptoir et je l'ai embrassée en sortant du bar. C'était comme avec toutes les Américaines: elles vous collent immédiatement la langue au fond de la gorge. Elles pensent que c'est comme ça qu'il faut faire avec un Français. Bon, c'est pas désagréable. Un autre de nos privilèges.
Je l'accompagne jusqu'au métro et elle me propose direct de passer chez elle lendemain. Direct. Cette affaire se précise. Et Jess est une fille vraiment belle, et très sexy.
Alors le lendemain j'étais pile à l'heure, au garde-à-vous devant sa porte, bouteille de champagne en main et bite prête à dégainer. Mais c'est son colocataire qui m'ouvre la porte. Un Français. Elle se prépare et lui et moi sommes contraints de discuter.
"Ah ouais c'est clair, ils savent vraiment pas faire de bonnes baguettes ici", ou "C'est sympa New York mais Paris ça reste quand même Paris!" etc., etc. Voici la teneur de notre conversation.
Mais Jess me délivre rapidement en remplissant la pièce de toute sa sexyness. Encore une jupe noire. Un tout petit t-shirt qui moulait ses deux seins fabuleux. Mon coeur battait à deux-cent à l'heure. Ma tête était chargée d'adrénaline. Déjà.
Et quand elle s'est penchée pour mettre ses chaussures on pouvait clairement distinguer, pendant juste un court instant, le contour de son string sous sa jupe. C'était à devenir cinglé.
Son colocataire se grattait tranquillement les couilles sur le canapé et Jess me propose de sortir pour me montrer son quartier. Green Point. Un charmant petit coin de Brooklyn qui ressemble, dit-on, au Williamsburg d'avant les invasions européennes.
Dix minutes plus tard on se retrouve à descendre des verres dans le bar brésilien du coin.
Dans le bar ça dansait, ça chantait, c'était caliente. Jess et moi enchaînions les mojitos, très sucrés et très chargés. Il faisait très chaud dehors. L'ambiance était très sexuelle.
Jess était debout, dos à moi.
Je la tenais délicatement par la taille et son petit cul se frottait à ma jambe, au rythme de la musique. Elle a dû sentir qu'une troisième me poussait. Elle s'est retournée pour m'embrasser à pleine bouche. Ses mains courraient le long de mon dos et je caressais discrètement le haut de sa cuisse, juste sous ses fesses.
"Let's get out of here", me dit-elle. Elle voulait me montrer son toit.
(son toit) |
Sur ce toit, je l'ai baisée dans tous les sens.
Elle s'est appuyée sur la rembarde en faisant mine de contempler la vue. Il faisait chaud. Vraiment très beau.
Je la prends par les hanches en me plaçant derrière elle. Je saisis ses fesses en passant mes deux mains sous sa jupe. Toutes petites et vraiment très fermes. Un régal.
Elle se cambre en faisant ressortir son petit cul, un peu comme elle venait de le faire dans le bar en se frottant à ma jambe. Elle se cambre juste assez pour m'inviter à continuer. Je la caresse par-dessus le string. Elle est déjà très mouillée. Je pousse la petite ficelle noire et écarte ses fesses. Je rentre un doigt. Elle est trempée.
Elle se retourne, me sort la queue et se met à me sucer. Avec les deux mains. Une des meilleures pipes de ma vie, sérieusement.
Puis elle se lève. Je la plaque contre le mur et elle enroule ses jambes autour de ma taille. Elle m'attire par les fesses, un peu plus contre elle. Pousse un petit gémissement d'excitation et me sussure "Fuck me now" à l'oreille. Je la pénètre contre le mur, d'abord un petit peu, puis tout entier. Putain ce qu'elle m'excitait.
Elle m'a ensuite tourné le dos pour que je la prenne en levrette. Je la tenais par la hanche avec une main, écartait sa fesse avec une autre. J'étais vraiment en train de la défoncer mais elle n'arrêtait pas de me demander d'y aller encore plus fort. "Harder, fuck me harder". Elle me prenait par les couilles pour que je m'enfonce bien tout entier.
Elle s'est alors mordue la main pour étouffer ses cris et elle m'a dit qu'elle allait jouir. Je sentais chacune de ses secousses tout autour de moi. Ses jambes se sont mises à trembler. Elle a vraiment jouit très fort.
Ensuite elle m'est montée dessus et m'a travaillé dans tous les sens. Puis elle s'est allongée sur le ciment, jambes écartées, et m'a demandé de la faire jouir encore une fois.
Cette fille était fantastique.
Le soir même, après cette séance de sexe à vous faire sauter la tête, elle m'a envoyé quelques photos d'elle (l'une d'entre elles est en haut de ce post) en m'invitant à repasser dès que possible.
C'est ce que j'ai fait tout le mois de Juillet. On filait le plus souvent directement dans sa chambre. Mais la dernière fois, juste avant mon départ présumé, nous sommes retournés sur son toit et avons terminé comme nous avions commencé.
Nous ne nous reverrons pas, mais nous nous souviendrons longtemps de ce mois de Juillet.
"Sweet days of summer, the jasmine's in bloom.
July is dressed up and playing her tune."
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